créer des "salles de shoot" comme le font la plupart des pays Européens afin de
mesurer l'impact sur la consommation de drogues et accompagner avec surveillance médicale les toxicomanes.
Certaines villes intéressées : Paris, Lille, Nantes, Marseille, Le Havre ... sont souvent confrontées à des "scènes ouvertes" de drogue: deal et/ou consommation publics. Marseille et Paris sont en pointe.
Le médecin urgentiste Patrick Pelloux a exprimé son soutien, conscient que "ça va faire peur à une certaine morale" mais convaincu que "ça permet de remettre le malade dans un circuit et souvent de l'aider à sortir de la drogue".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire