jeudi 13 janvier 2011

la Freebox Revolution testée

Free a commencé à livrer ses nouvelles box (version 6). La Freebox revolution présentée
à la presse par Xavier Niel le 14 décembre 2010.

Maxisciences a déballé et testé la Freebox révolution.
Free a mis le paquet ... sur le packaging, un manuel imprimé sur la partie rabattable.
A l'intérieur deux box différentes :
la Freebox server (pour Internet) et le Freebox Player (pour la TV, entre autres).
Les matières utilisées sont surprenantes. matériau rigide et sombre à une partie molle rouge
pour le port USB qui se détache du reste de la box). l'heure rotative se positionne
automatiquement selon le sens dans lequel on choisit de positionner les box.
La Freebox Server : menu pour paramétrer directement sur le boîtier. Un écran tactile
doté de 4 flèches pour naviguer dans un menu (ADSL, Fibre, afficheur, connexion, téléphonie,
systme ...)
La Freebox Player : inclut un lecteur de blu-ray qui lit aussi les CD et les DVD.
L'interface affiche une page d'accueil, relativement fluide et rapide, personnalisable
(fond d'écran avec nos propres photos, icônes ...)
la télécommande : entièrement revue, bien pensée.
la télévision et les programmes : guide des programmes accessible
la présence de tous les programmes de rattrapage par chaîne.
la navigation Internet pas très aisée, il faut se servir de la télécommande pour naviguer.
Applications et jeux, développés par Gameloft (Freestore)
Gestion des photos

les tablettes soumises à la taxe Copie privée

Les tablettes n'échappent pas à la taxe sur la copie privée
LeMondeInformatique.fr
La Commission pour la Copie privée vient d'adopter de nouveaux barèmes dans le cadre
de la taxation des supports de stockage (CD, DVD, cartes mémoires, ...)
La taxe sur les mémoires de stockage type disque dur/lecteur MP3 ou autoradios sera
par exemple de 1 euro par appareil pour une capacité de 128 Mo, et de 20 euros pour
des capacités supérieures à 20Go.
Les tablettes tactiles multimédias avec fonction baladeur, dotées d'un système d'exploitation pour terminaux mobiles ou d'un système d'exploitation propre sont intégrées au système de taxation,
il en coûtera 8 euros pour une tablette dont la mémoire interne est comprise entre 10 et 20 Go, 10 euros entre 20 et 40 Go et 12 euros pour un modèle de plus de 40 Go.
L'iPad, disponible en 3 versions (16, 32 et 64 Go) sera ainsi taxé à hauteur de 8, 10 et
12 euros de même que les tablettes fonctionnant sous Google Android ou les tablettes
d'Archos ou de Toshiba.
Cette imposition prélevée à l'achat d'un matériel vise à compenser l'exception juridique
qui autorise une personne à reproduire une oeuvre pour son usage privé. Cette copie
peut alors être réalisée si sa source est une oeuvre achetée ou diffusée (à la télévision
par exemple).

Microsoft conteste le dépôt de la marque App Store par Apple

Microsoft conteste à Apple le droit de déposer la marque "App Store".
Microsoft a déposé un recours le 10 janvier 2011 auprès du bureau des brevets et marques
en arguant qu'App Store, déposé comme chacun sait par Apple,
regroupe deux termes génériques, très employés dans le domaine du web.
"App" est la contraction d'application et
"Store" signifie boutique en anglais.
La firme de Cupertino avait lancé l'App Store en même temps que son iPhone 3G en 2008.
Tous les coups sont-ils permis en matière de business ?
La démarche de Microsoft peut paraître
étrange étant donné que celle-ci intervient seulement trois ans après le lancement de la plateforme.
et étonnant de la part d'une société qui exploite le mot
"Windows" (Fenêtres) ou encore
"Word" (Mot) depuis des lustres ... (Le Monde numérique).

Selon la firme de Redmond, le nom App Store (du nom de son magasin d'applications en
ligne d'Apple, et non pas Apple Store), le terme est en effet trop
générique pour être conservé par une seule et unique marque et devrait pouvoir être utilisé
par tous.
"L'App Store" d'Apple propose 300.000 applications,
"l'Android Market" de Google propose 150.000 applications,
"le Marketplace" de Microsoft propose 4.000 applications.

Virtualisation de serveurs : comment gérer la complexité ?

Virtualisation de serveurs : comment gérer la complexité ?
LeMondeInformatique.fr

La virtualisation qui consiste à faire fonctionner plusieurs "serveurs" sur une seule
machine physique. On entend par "serveur", l'ensemble :
Système d'exploitation et Applications.
Dans une entreprise, un serveur utilise 10 à 15% des ressources matérielles de la
plate-forme. Il est donc possible de regrouper jusqu'à 5 serveurs sur une seule machine.
La consolidation du parc de serveurs avec à la clé un gain réel sur les achats de matériels
et une réduction sur les espaces et la consommation d'énergie.

La virtualisation des serveurs permet aussi une redondance des services pour la Haute disponibilité, à moindre coût. Elle permet de s'affranchir de scripts complexes pour synchroniser les données entre les serveurs et basculer les services.
La virtualisation est un succès. Le nombre de machines virtuelles (VM) s'est multiplié
parfois anarchiquement dans les entreprises entraînant une complexité dans le système
d'information et une explosion des coûts de management due à une sous administration de
ces environnements virtuels.
Face à ce constat, l'industrie IT monte au créneau pour apporter des solutions pas
toujours simples à décrypter. Ce ne sont pas les solutions d'administration classiques pour
serveurs qui vont résoudre ces problèmes face à l'arrivée massive des machines virtuelles.
Hier, consolider, aujourd'hui consolider et administrer.

Microsoft renonce au rachat des brevets Novell

Le consortium CPTN, dirigé par Microsoft, s'éclipse du rachat de brevets de Novell
LeMondeInformatique.fr
Un projet de consortium CPTN, regroupant Microsoft, Apple, Oracle, et EMC
pour racheter 882 brevets de Novell a été soumis au régulateur de la concurrence allemand.
Le groupe dirigé par Microsoft a retiré sa demande d'autorisation aux autorités allemandes.
Les associations Open Source, et notamment l'OSI, Open Source Initiative et la Free software Foundation Europe (FSFE) ont interpellé les autorités allemandes des risques sur les logiciels libres.
Ils s'inquiétaient du fait que certains brevets intègraient du logiciel libre.
"Sur de nombreux marchés comme ceux des systèmes d'exploitation, des suites de
productivité bureautique, ou encore ceux des serveurs web, les logiciels libres sont les
principaux concurrents à l'offre de Microsoft.
A ce jour, Novell, en cours de rachat par Attachmate, a convenu d'une vente séparée de son portefeuille de brevets au CPTN pour un montant de 450 millions de dollars.
Quant à Microsoft, l'entreprise n'a fait aucun commentaire au sujet du retrait du projet de
consortium.

mardi 11 janvier 2011

CES 2011 : tablette Motorola Xoom reçoit la palme de l'innovation

Dévoilée au début du mois de décembre par Andy Rubin, du département de l'ingénierie chez Google, la nouvelle tablette tactile"Xoom" du fabricant américain Motorola a reçu le prix
de la meilleure innovation.
Motorola Mobility a présenté deux produits innovants :
la tablette tactile Xoom que tous comparent à l'iPad d'Apple.
La Xoom se fait remarquer par son écran large (25,6 cm de diagonale) et l'absence complète
de boutons. Elle embarque deux caméras, une de chaque côté, celle filmant vers l'arrière
offrant une haute définition.
A l'intérieur, un processeur à 1 GHz gère 32 Go de mémoire et une double connexion Wi-Fi et 3G. Aux Etats-Unis, s'y ajoute la compatibilité avec le réseau à haut débit 4G de Verizon.
C'est la version d'Android 3.0 de Google connue jusque là sous le nom de Honeycomb
("rayon de miel") et conçue pour les appareils à large écran tactile.
Il accepte les vidéos au format Flash d'Adobe que l'iPad ne peut pas lire.
L'Atrix, un téléphone avec un gros processeur et une mémoire généreuse, se branche sur
un ensemble écran-clavier pour devenir un ordinateur @Motorola.
Motorola espère vendre 700 à 800.000 tablettes Xoom au 1er semestre.



Oracle sort un logiciel de BI pour les clients de SAP

LeMondeInformatique.fr
Oracle Financial Analytics for SAP
Oracle vient de lancer une nouvelle application de solutions décisionnelles
(Business Intelligence) capable d'obtenir des aperçus des données financières à partir
des ERP de SAP, plus de 200 rapports, et la possibilité de fournir des informations
ciblées en fonction du profil de l'utilisateur.
Oracle Financial Analytics for SAP concurrence les outils d'analyse financière que SAP
commercialise conjointement avec ses ERP ainsi qu'avec un large panel, d'autres
solutions BI maison.
La solution "Oracle Financial Analytics for SAP" propose des modules pour des domaines fonctionnels variés allant des achats et des charges jusqu'aux marchés verticaux.
Ce nouveau produit intègre un adaptateur compatible avec ABAP, le langage de programmation propriétaire de SAP présent dans tous ses produits.

Pour le moment, les utilisateurs d'applications SAP liées à des systèmes de gestion de
base de données non Oracle ne peuvent pas choisir Financial Analytics for SAP.
Oracle compte remédier à cette situation avec la prochaine édition en intégrant en plus
d'Oracle Database le support de Teradata, SQL Server et DB/2.