lundi 25 juillet 2011

les paiements par téléphone mobile

Le petit appareil de poche qui ne servait qu'à téléphoner, a le vent en poupe.
Vers la virtualisation de la monnaie.
Fini le porte-monnaie, vive le mobile. C'est le paiement sans contact qui exigera de nouveaux modèles. Nokia, Samsung et LG planchent déjà. Le Mobile World Congress
restera à Barcelone jusqu'en 2018
Les terminaux mobiles et les lecteurs de puce sont fin prêts.
La technologie de paiement sans contacts ou NFC (comme les cartes de métro) qui
vont arriver en France début 2012.
3 types de paiement par téléphone mobile :
le mode SMS, pour le paiement de contenu numérique et le paiement de personne à
personne,
le mode "numéro de téléphone dédié" pour payer son stationnement, parcmètre,
distributeurs de boissons,
le mode NFC (Near Field Communication), le mode "ondes radio", poussé par les
établissements bancaires et financiers.

La carte SIM en tant que support sécurisé pour l'hébergement en toute confiance de
tout type d'applications : la billetique transport, un geste que les utilisateurs de
Pass Navigo connaissent bien.
Le code 2D, code barres à deux dimensions qui prend la forme d'un pictogramme
composé de carrés. Il est possible de scanner le code 2D à l'aide du téléphone mobile.
envoi automatique d'un message électronique SMS, MMS, e-mail. Ce n'est pas
seulement une adresse URL, mais une suite de caractères alphanumériques.
Un code 2D peut contenir des balises à l'instar du XML et initier une opération de
paiement à partir d'un objet physique. Un code 2D est un hyperlien ... mobile
"Payez Mobile".
Le pays du soleil levant est l'exemple qui vient immédiatement aux lèvres quand on
parle du paiement par téléphone portable.
Le premier opérateur téléphonique NTT DoCoMo du Japon, multiplie les services
bancaires :
porte-monnaie électronique, carte de crédit, coupons de fidélité ...
Sur le continent africain, les expériences et lancements commerciaux de services
de paiement associés au téléphone portable se multiplient.
Pourtant dans les pays développés, cette pratique n'est pas encore tout à fait entré
dans les usages. Le Gartner pense que l'adoption massive de cette technologie n'aura
pas lieu avant quatre ans.
"Le principal obstacle réside dans le besoin de changer les habitudes des consommateurs
en les convainquant de payer avec des téléphones portables plutôt qu'avec de l'argent
liquide et des cartes" nous dit MaxiSciences.

1 commentaire:

  1. VACUITÉ DU TÉLÉPHONE PORTABLE

    Le téléphone portable concentre à lui seul les pires travers du monde contemporain : vulgarité, inutilité, fatuité, laideur, pollution de l'esprit.

    Symbole de la nullité culturelle, emblème de l'insignifiance, étendard des minables, arme des âmes indigentes, prolongement vide des esprits creux, le téléphone cellulaire est un sifflet pour humains à cervelles d'oiseaux.

    Avec ce flatteur instrument de fausse communication notre société a érigé le bavardage en nécessité vitale, donné ses lettres de noblesse au quotidien stérile de gens sans importance, fait descendre dans la rue les bruits de chiottes des individus n'ayant rien d'autre à se dire que de disserter sur leurs chasses d'eau.

    Je déteste par-dessus tout ce gadget clinquant pour adulte immatures. Pour moi le comble du mauvais goût consiste à se trimballer avec cet objet qui non seulement est parfaitement inutile mais encore onéreux, hideux et dont les frémissement sonores sont aussi imprévisibles que criards.

    Dûment équipés de ce joujou superflu mais n'ayant pourtant rien à se dire, les propriétaires de téléphones portables sont des veaux qui se transmettent leurs beuglements. Bien sûr dans les faits ils se transmettent des paroles à travers les ondes, mais celles-ci sont si dérisoires et ineptes que cela revient à ce que des veaux s'envoient des beuglements à travers les airs.

    La populace affectionne singulièrement le téléphone portable et ce n'est pas un hasard. Cet appareil de haute technologie est à la plèbe ce que le téléphone arabe est à la noblesse : une marque de distinction.

    Vers le bas pour la première, vers le haut pour la seconde.

    Raphaël Zacharie de IZARRA

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