jeudi 8 septembre 2011
Une équipe américaine est parvenue à installer un élément en graphène dans une
cellule mémoire de type Flash.
Ce procédé permettrait de réduire les dimensions au-delà de ce que l'on peut faire avec du silicium.
Des chercheurs de l'université de Californie à Los Angeles (l'UCLA) associés à des employés chez
Samsung travaillent sur une solution qui s'appuie sur le graphène, cette feuille monoatomique de carbone,
de la même nature que la paroi des nanotubes de carbone.
Installer une pastille de graphène en lieu et place de la grille flottante en silicium d'une mémoire de type Flash.
Pour l'instant, l'équipe n'en est qu'au prototype.
Cette mémoire Flash au graphène (la GFM, Graphene Flash Memory)
apporterait une dimension des cellules de l'ordre de micromètres et une consommation inférieure à celle du composant tout en silicium.
Futura-sciences nous précise que la progression des capacités pourrait se poursuivre bien au-delà du
téra-octet sur les petites cartes à glisser dans les appareils photo, smartphones ou caméras.
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