LeMondeInformatique
Avec Red Hat Enterprise Linux 6, Red Hat lance une version de sa distribution taillée
pour la virtualisation et l'informatique en nuage.
Pour le cloud privé et pour le cloud public, Red Hat repose sur l'engagement des standards
ouverts et de l'Open Source, ce qui est un gage d'interopérabilité. Le cloud intègre les
composants que l'on possède :
Microsoft Windows ou Red Hat Enterprise Linux,
Lamp, java ou .Net,
Red Hat Enterprise Virtualization, VMware ESX ou Microsoft Hyper-V,
une infrastructure en tant que service IaasS,
une Plateforme en tant que service PaaS.
Avec le rachat de Makara qui fait du déploiement d'applications et de l'hébergement PaaS
Avec le rachat de Makara qui fait du déploiement d'applications et de l'hébergement PaaS
sur Amazon EC2 ou Rackspace, le service hébergé supporte Java Enterprise Edition, offre
des fonctionnalités de niveau entreprise et la gestion du cycle de vie.
Une preview de la plate-forme fonctionne sur Amazon EC2 ou Rackspace est en accès libre
aux développeurs avec un support technique limité.
L'éditeur réserve l'annonce d'une feuille de route pour le Red Hat Summit
du 3 au 6 mai 2011 à Boston
devrait proposer des logiciels
pour construire des réseaux cloud,
pour effectuer le déplacement de la charge de travail d'un nuage à l'autre, y compris
la virtualisation serveurs : chez Red Hat RHEL 6, l'hyperviseur se nomme RHEV-H. KVM
est intégré au noyau Linux. La virtualisation hérite de toutes les fonctions de l'OS, comme
la gestion de la sécurité et des utilisateurs.
un système d'exploitation,
des outils d'orchestration et de gestion,
du middleware, et des frameworks pour le développement d'applications.
Pour le service de cloud public,
Microsoft dispose de Windows Azure,
Google dispose de App Engine et
VMware a annoncé Cloud Foundry.
Il semblerait que Azure cible les développeurs de Microsoft et Red Hat qui s'appuient sur
l'Open Source et qu'ils pourraient coexister.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire