mercredi 25 janvier 2012

Le cloud computing français

Ou en est le cloud computing français
au 25 janvier 2012 ?
Il a représenté 1,85 milliards d'euros en 2010 et
devrait dépasser 2 milliards cette année nous dit
infoDSI.
En attendant "The big One", alias Andromède,
des projets plus spécialisés :
Cloud communautaire des universités
UnivCloud (pour les usages numériques) ou

le service de cloud gaming de Bouygues Telecom dans le cadre de sa nouvelle Bbox Sensation.
L'explosion des capacités de transmission et de stockage des données est à l'origine de l'informatique
en nuage. En Europe, le marché du "cloud" a bondi de 20% en 2010 et il pourrait représenter près
de 15% du marché européen des logiciels et des services en 2015.

Le projet Andromède initié en 2009 s'appuie un partenariat public-privé entre l'Etat, Orange et
Thalès puisque Dassault Systèmes s'est désisté. ATOS par la voix de son patron Thierry Breton,
a manifesté son intérêt pour ce projet.
Parallèlement à Andromède, le gouvernement français a lancé un premier appel à projet de R&D
"cloud computing" : cinq projets bénéficieront d'un soutien public
la plate-forme d'ingéniérie logicielle : CloudForce d'Orange Labs,
les outils de portage : projet CloudPort de la PME Prologue,
le projet d'infrastructure logicielle : projet Magellan porté par Bull,
le projet de nuage comunautaire ; projet Nu@ge porté par la PME Non Stop Systems
le projet UnivCloud porté par INEO et UNPIdF  Université Numérique Paris Ile de France.

A côté des opérateurs internationaux que sont Microsoft, Google, HP, AT&T, IBM
des sociétés en France telles ATOS, Cap Gemini, Steria, Orange et SFR sont actives.
ATOS vient de créer Yunano, co-entreprise avec la société chinoise Ufida pour commercialiser
en mode "cloud computing" des logiciels de gestion et les services associés.

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